• Entends-tu les raisons de la colère ?


    votre commentaire
  • Je m'étais dit que je voulais bien une pause. D'un mois, d'un an. Ah mais c'est bien deux ans aussi. Et cinq. Dix, Vingt, Quarante, Cinquante, Soixante et pis toute une vie au final. Et je me suis dit que j'avais juste besoin d'une grande pause. 


    votre commentaire
  • Je ressens le besoin d'écrire. Et j'ai rien à dire. C'est un soupire. Qui sort de mes poumons, de mes tripes. Qui sort de mon ventre, de mon âme. C'est transcendant. C'est transcendant. 

    Il y a tant de mal. Il y a tant d'amour. D'espoir. De malheur. De pleur. De tristesse. De mélancolie. De peur. J'ai peur. Il y a tant de beau. 

     

    Et je hurle dans ma gorge. J'ai des tocs. Je hurle dans mon crâne. 

     

    Et en fait. Pourquoi est-ce que j'ai mal ? De toute manière c'est comme ça. On aura toujours du mal. Toujours de quoi gérer. Et c'est d'une complexité. C'est si confus. C'est un chaos, une confusion extrême. Partagée par chaque personne morale. C'est si fou. C'est si fou. 

    C'est révoltant. Ca me révolte de penser ça. Ca me met en colère, car ça enlève tout sens. Ca enlève toute logique. Ca n'enlève pas tout le beau.

    C'est de tout côté. De tout sens. C'est tout. C'est tout. C'est tout, c'est tout, et c'est difficile d'être quelque chose dans ce rien, ce tout, ce rien, ce rien, ce tout, ce rien. Ce ça. Ca. 

     

    Je comprends le bonheur et le malheur. Je comprends la douceur et la mélancolie. Je comprends l'amour et le peu. Je comprend l'éveil et le soupire. Je comprends la gorge nouée et le chant pur. Je comprends les sauts dans les flaques et le gris. Je comprends la bière du soir et celle du matin. 

    Un mélange amer. Une dualité inhospitalière. 

     

    J'aurais les mots pour expliquer ma pensée. C'est pas sympathique de ne pas être clair ? 

    Mahomi


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique